lundi 1 septembre 2014

STE-LUCE SE MARRE DE NOUS



BON, C’EST MAINTENANT L’HEURE DE FAIRE MÉNAGE DANS LES FAITS 

Mes œuvres de l’anse aux coques, plus précisément LOUVOYAGE, MAIN D’ABUS et EUPHONIE, émanent d’une démarche artistique par création sculpturale, reflétant ma personnalité, mon moi, ma poésie et ma suite des choses, voilà pour ce droit d’auteur et ma considération d’aliénation pour non-entretien d’œuvres à l’anse aux coques de Ste-Luce.
Revendications au non-respect des conventions entérinées en 2005 et 2006, portant sur l’entretien des oeuvres dans le cadre du symposium les sculpturales, mes droits, ma suite des choses et l’entretien d’un patrimoine culturel me concernent, et ce, pour des lustres et des lustres.

Au fait, ce symposium, celui de 2005, le seul qualifiable de symposium, émanait de feu Michel Gendron décédé en 2005 et propriétaire du resto de l’anse aux coques avec l’appuie de Carol Slater avec l’aide de G Pineau et des compagnons de Yves Dufour.

Les arts visuels c’est far-ouest ici dans le bas, un essaim d’intéressés amateurs de gain et bien évidemment cette masse salariale porteuse en titres.

Artistiquement vôtre,

GAB