jeudi 19 mai 2016

GAB et PERFORMANCE SCULPTURALE

Gabriel Simard, artiste sculpteur, performeur québécois d’origine charentaise et d'une charlevoisienne génomique. L’artiste poursuit une démarche recherche qui propulse l'artiste vers le sculptural de performance que je qualifierai de sculpturelle.

Ses œuvres présentent des formes parfois caricaturales mais toujours sous des messages forts.

GAB personnage artistique qu’une synergie entre le public et l’artiste fait transgresser dans l’œuvre une énergie de poésie. De plus, l’artiste intègre sa 
poésie d'énergies à ses réalisations d'oeuvres sculpturales.

Personnage haut en couleur, truculent, fantasque, le ZZ top de l'art sculptural, de ses grosses lunettes de haute montagne noires, cheveux longs et longue barbe blanche que Jean-Sebastien Fernandes de France 3 considère comme  un gaulois sorti tout droit de l’imaginaire Mad Max faisant le bonheur des visiteurs. L’artiste performe un style bien à lui dans une réalité d'art contemporain.

Difficile de catégoriser l’artiste GAB, car Gabriel Simard s'inscrit autant en performance directe que dans l'œuvre pour la suite des choses de sa démarche comme les saumons en Mémoire des gènes acquis d'une génomique 
poésie en toute québécitude sur 400 ans d'une francophonie nord-américaine.

MAX



vendredi 13 mars 2015

SOREL-TRACY EN REMETTRE SUR LE FEU


ILS EN REMETTENT ENCORE: APRÈS JULIE LAMBERT DANS L’ÉDITION DES DEUX RIVES DU 4 AVRIL 2013, C'EST MAINTENANT L'HEURE DES EMMERDEURS PARTIALEMENT IMPLIQUÉS DE CAUSE...



Mr Latraverse (l’employé des communications, une source des emmerdes) refusait de défrayer les couts de notre déplacement  et c’est sur cette prémisse que nous avons allumé et revendiqué par ce manque de  TRANSPARENCE voir même disparation de notre mécénat, qui et je réitère encore et encore nous était légitimé.

Ces deux guignols, Latraverse et Robert l’on échappé belle, que dire de ce manque d’éthique à ville Sorel-Tracy.  Cette fameuse preuve, LES CHÈQUES de notre MÉCÉNAT, notre PRÉTENTIEUX chaînon manquant comme je le scribouillait si bien.

Maintenant, je vous confirme, que les chèques étaient bel et bien pour l’artiste Gabriel Simard et son oeuvre sculpturale mémoire des gènes, nous avons les duplicatas.

lundi 12 janvier 2015

VOILÀ LA RÉALITÉ DES FAITS




Le litige qui opposait l'ex maire de Sorel-Tracy Marcel Robert et l'employé des communications Louis Latraverse au sculpteur Gabriel Simard, s’est résolu par la juge Luce Kennedy en 4 heures à la cour des petites créances de MONT JOLI dans le bas St-Laurent.

Une savonneuse citation de Mme la juge Kennedy PENSEZ-VOUS QUE LES SIMARD ONT AIMÉ SE FAIRE FOURRÉ DE LA SORTE l’intervention de la juge à elle seuls valait les 7,000$ en question, fallait être présent pour le croire, en plus il leur a fallu 12 heures de route en pleine tempête de neige du 20 avril 2011 pour s’y rendre.

Sans prétention, disons-le clairement, l’artiste Gabriel Simard n’a pu démontré aux petites créances cette preuve, car elle était entre les mains de Mr Robert ou Mr Latraverse, qui n’ont vu aucun intérêt de la présenter comme preuve. Qui s’incriminerait pour si peu!!!

Maintenant que nous détenons ces copies des factures et dépenses que Latraverse nous refusait catégoriquement de nous remettre, nous constatons un défrayé en suivi de Mr Latraverse pour 2,000.$ , quel culot, WOW !!!


lundi 1 septembre 2014

DANS LES FAITS


En 2006 : je les avais protégés à mes frais, et le produit était bon pour approximativement deux ans.

En 2008 : nous avons contacté Madame le maire St-Laurent qui refera à MR Pineau et qui nous retourna à Mr Robidoux qui nous retourna à Mr Pineau …

En 2009 : j’ai fait parvenir une forme de mise en demeure les incitant à respecter la convention lors des symposiums 05 – 06 à l'association touristique de Ste-Luce.

Réponse de MrLoiselle de L’association, affirmative confirmant l’entretien pour 2009 et rien n'a été fait.

En 2010 : Mr le maire Gaudreau est venu nous rencontrer sur la promenade pour l’en informer, jamais eu de retour.
J’ai protester en informant la population par des tracs sur les colonnes Morris conçues a cet effet, ils les ont arrachés dans la nuit comme des apaches et même Radio-Canada en un gracieux reportage en direct des sculpturales 2010 Mme Landreville et Jade Thibodeau n'osent glisser mot, pourtant...

Pour 2011 : assez c’est assez les œuvres sans entretien je les considère en aliénation et selon mes droits moraux, aliénation veux dire que je peux reprendre mes œuvres pour les protéger.

Pour la suite des choses, en attente de l’association qui n’ose communiquer avec nous. Assez c’est assez l’amateurisme à ses limites.


GAB


STE-LUCE SE MARRE DE NOUS



BON, C’EST MAINTENANT L’HEURE DE FAIRE MÉNAGE DANS LES FAITS 

Mes œuvres de l’anse aux coques, plus précisément LOUVOYAGE, MAIN D’ABUS et EUPHONIE, émanent d’une démarche artistique par création sculpturale, reflétant ma personnalité, mon moi, ma poésie et ma suite des choses, voilà pour ce droit d’auteur et ma considération d’aliénation pour non-entretien d’œuvres à l’anse aux coques de Ste-Luce.
Revendications au non-respect des conventions entérinées en 2005 et 2006, portant sur l’entretien des oeuvres dans le cadre du symposium les sculpturales, mes droits, ma suite des choses et l’entretien d’un patrimoine culturel me concernent, et ce, pour des lustres et des lustres.

Au fait, ce symposium, celui de 2005, le seul qualifiable de symposium, émanait de feu Michel Gendron décédé en 2005 et propriétaire du resto de l’anse aux coques avec l’appuie de Carol Slater avec l’aide de G Pineau et des compagnons de Yves Dufour.

Les arts visuels c’est far-ouest ici dans le bas, un essaim d’intéressés amateurs de gain et bien évidemment cette masse salariale porteuse en titres.

Artistiquement vôtre,

GAB









samedi 17 mai 2014

PROPRIETE INTELLECTUELLE




UN LION IMITANT UN AUTRE LION N’EST PLUS UN LION, MAIS UN SINGE DISAIT VICTOR HUGO 


POUR ÊTRE PROTEGÉE PAR LES DROITS D’AUTEUR, UNE OEUVRE DOIT ÊTRE ORIGINALE. 

Pour revendiquer des droits d’auteur sur une œuvre, il faut d'abord qu'il s'agissse effectivement d'une oeuvre de l'esprit. Mais il faut bien sûr que l’œuvre présente aussi un caractère d’originaL



L’originalité d’un œuvre se révèle par un « effort créatif portant l'empreinte de la personnalité de son auteur ». En revanche, lorsque l’œuvre reprend par exemple, des « schémas classiques au moyen de procédés connus, ne traduisant aucune fantaisie particulière ni aucun effort de création personnelle », elle n’est pas protégeable au titre des droits d’auteurs.



Autrement dit, « Pour être reconnue originale, une œuvre doit être révélatrice de la personnalité de son auteur et comporter un apport intellectuel inédit »… C’est pourquoi des « œuvres » réalisées à des fins télévisuelles ne sont pas protégeables, si elles « révèlent dans leur conception et leur contenu, un schéma classique destiné à éveiller la curiosité intellectuelle des enfants, au moyen de procédés connus, telle l'intervention de personnages de dessin animé, de sorte que ces travaux ne traduisent aucune fantaisie particulière ni un effort de création personnelle ».



GAB et MAX artiste libre


Référence :

DROIT D'AUTEUR ET DROIT MORAL
Hugues G. Richard*
LEGER ROBIC RICHARD, avocats
ROBIC, agents de brevets et de marques de commerce
Centre CDP Capital
1001 Square-Victoria – Bloc E - 8e étage
Montréal (Québec) H2Z 2B7
Tél: 514-987-6242 - Fax: 514-845-7874
info@robic.com – http://www.robic.ca/


mercredi 1 janvier 2014




LE PLANCHISTE

RÉALISATION ARTISTIQUE DIRECTE, SEPT JOURS CONSÉCUTIFS DE MARS 2013

L’artiste observe expérimente et transpose par différents médiums qu’il choisit pour mieux communi­quer son discours, sa recherche, sa vision du monde, une quête pour la suite des choses. Il n’est pas un expert d’un médium donné, mais un technicien possé­dant sa propre technique.

L'UNESCO A PROPOSÉ UNE DÉFINITION DE L'ARTISTE (ADOPTÉE À BELGRADE, LE 27 OCTOBRE 1980) 

« On entend par artiste toute personne qui crée ou participe par son interprétation à la création ou à la recréation d'œuvres d'art, qui considère sa création artistique comme un élément essentiel de sa vie, qui ainsi contribue au développement de l'art et de la culture, et qui est reconnue ou cherche à être reconnue en tant qu'artiste, qu'elle soit liée ou non par une relation de travail ou d'association quelconque. »

« Cependant, pour  l'anthropologue  Lévi-Strauss, la démarche de l'artiste relève à la fois de celle du bricoleur et du scientifique. »

Un artiste est un individu faisant (une) œuvre, cultivant ou maîtrisant un art, un savoir, une technique, et dont on remarque entre autres la créativité, la poésie, l'originalité de sa production, de ses actes, de ses gestes. Ses œuvres sont source d'émotions, de sentiments, de réflexion, de spiritualité ou de transcendances.

Dans un sens commun, et plutôt péjorativement ou pour la disqualifier, on parle également d'artiste ou de poète à propos d'une personne étrange, marginale, oisive, rêveuse, qui fait n'importe quoi1, de quelqu'un qui n'a pas le sens des réalités, des règles, et est parfois considéré comme rebelle, sot ou fou.


GAB