lundi 1 septembre 2014

DANS LES FAITS


En 2006 : je les avais protégés à mes frais, et le produit était bon pour approximativement deux ans.

En 2008 : nous avons contacté Madame le maire St-Laurent qui refera à MR Pineau et qui nous retourna à Mr Robidoux qui nous retourna à Mr Pineau …

En 2009 : j’ai fait parvenir une forme de mise en demeure les incitant à respecter la convention lors des symposiums 05 – 06 à l'association touristique de Ste-Luce.

Réponse de MrLoiselle de L’association, affirmative confirmant l’entretien pour 2009 et rien n'a été fait.

En 2010 : Mr le maire Gaudreau est venu nous rencontrer sur la promenade pour l’en informer, jamais eu de retour.
J’ai protester en informant la population par des tracs sur les colonnes Morris conçues a cet effet, ils les ont arrachés dans la nuit comme des apaches et même Radio-Canada en un gracieux reportage en direct des sculpturales 2010 Mme Landreville et Jade Thibodeau n'osent glisser mot, pourtant...

Pour 2011 : assez c’est assez les œuvres sans entretien je les considère en aliénation et selon mes droits moraux, aliénation veux dire que je peux reprendre mes œuvres pour les protéger.

Pour la suite des choses, en attente de l’association qui n’ose communiquer avec nous. Assez c’est assez l’amateurisme à ses limites.


GAB


STE-LUCE SE MARRE DE NOUS



BON, C’EST MAINTENANT L’HEURE DE FAIRE MÉNAGE DANS LES FAITS 

Mes œuvres de l’anse aux coques, plus précisément LOUVOYAGE, MAIN D’ABUS et EUPHONIE, émanent d’une démarche artistique par création sculpturale, reflétant ma personnalité, mon moi, ma poésie et ma suite des choses, voilà pour ce droit d’auteur et ma considération d’aliénation pour non-entretien d’œuvres à l’anse aux coques de Ste-Luce.
Revendications au non-respect des conventions entérinées en 2005 et 2006, portant sur l’entretien des oeuvres dans le cadre du symposium les sculpturales, mes droits, ma suite des choses et l’entretien d’un patrimoine culturel me concernent, et ce, pour des lustres et des lustres.

Au fait, ce symposium, celui de 2005, le seul qualifiable de symposium, émanait de feu Michel Gendron décédé en 2005 et propriétaire du resto de l’anse aux coques avec l’appuie de Carol Slater avec l’aide de G Pineau et des compagnons de Yves Dufour.

Les arts visuels c’est far-ouest ici dans le bas, un essaim d’intéressés amateurs de gain et bien évidemment cette masse salariale porteuse en titres.

Artistiquement vôtre,

GAB